Ouverture de la boucherie Cantons mange à Windsor
Par Ghislain Allard
Journaliste
Windsor — Plusieurs personnes ont pris part dernièrement à l’ouverture officielle de la boucherie Cantons mange, située au 14, route 249, à Windsor. De toute évidence, il s’agit d’un projet couronné de succès.
Il s’agit d’une boucherie avec du prêt-à-manger, des fruits et des légumes. « Nous sommes 100 % locaux, comme avec l’approvisionnement de porc, de bœuf et de poulet. C’est la même chose pour les fruits et les légumes. Tout est local », de dire Claire Moineau, copropriétaire de la boucherie Cantons mange.
À la boucherie, on travaille la carcasse. « Ça nous permet d’aller chercher n’importe quelles pièces. Nos bouchers sont sur place durant les plages horaires pour répondre à toutes les demandes », insiste Mme Moineau.
« C’est un grand plaisir d’assister à l’ouverture de la boucherie Cantons Mange ici à Windsor. Leur succès au concours OSEntreprendre démontre toute la créativité, l’audace et le travail acharné de nos entrepreneurs d’ici. En choisissant d’acheter local et de soutenir nos commerces de proximité, on encourage non seulement l’économie de la région, mais aussi la vitalité de nos communautés. Félicitations aux promoteurs pour cette belle réalisation qui fait rayonner notre milieu », souligne André Bachand, député de Richmond, qui était représenté par sa directrice de bureau, Dominique Samson-Desrochers, lors de l’ouverture officielle.
En fait, la boucherie est la petite sœur de la Shop à croissants, située presque à côté, dans le même bâtiment. « Pour la boucherie, nous avons écouté les commentaires de nos clients avant de nous lancer dans ce projet. Les gens étaient de moins en moins satisfaits des viandes retrouvées dans notre épicerie locale. Il y avait donc une forte demande pour tout ça. Nous voulions également compléter l’offre de la Shop à croissant », insiste la copropriétaire de ces deux commerces avec Félix Turgeon.
« Avant de parler de croissance, nous allons stabiliser les deux commerces. Nous avons toutefois comme projet de réunir les deux commerces dans un tout, mais pas avant cinq ans. Il faut y aller par étape », soutient Mme Moineau.