Le Salon Le Lounge s’installe dans l’ancienne Banque de Montréal
Par Ghislain Allard
Journaliste
Richmond – Le Salon Le Lounge, spécialisé en coiffure et en esthétique, vient tout juste de s’installer dans l’ancienne Banque de Montréal à Richmond.
Auparavant, le salon de coiffure et d’esthétique évoluait sous le nom Le Look et avait pignon sur rue au 389, rue Principale. Le commerce est maintenant situé au 236, toujours sur la rue Principale à Richmond.
Mais pourquoi aménager dans une ancienne banque ? « J’ai toujours trouvé très belle cette bâtisse. Lorsque j’étais plus jeune, il y avait quelque chose de magique dans le fait de monter les marches de cet édifice », raconte Amanda Garrett, propriétaire du Salon Le Lounge.
La femme d’affaires a donc déposé une offre d’achat au propriétaire du bâtiment de la rue Principale. « J’ai alors été agréablement surprise que ma proposition soit acceptée », avoue Mme Garrett.
À l’intérieur, en plus de tout l’équipement nécessaire à un salon de coiffure, la clientèle y retrouvera un lit de bronzage.
Quatre coiffeuses travailleront à l’intérieur du commerce de la rue Principale. Une spécialiste des ongles et des cils aura également sa place.
L’ancienne propriétaire du Salon Le Look, Johanne Pearson, travaille pour l’actuelle propriétaire. Mme Garrett a pris possession du commerce le 1er janvier 2019. « C’est mon ancienne patronne qui est devenue ma collègue », de dire la femme d’affaires.
D’ailleurs, pour elle, son équipe revêt une grande importance. « C’est grâce à mon équipe si nous pouvons offrir un tel service professionnel. Ce sont des gens très dynamiques. Il y a deux nouvelles coiffeuses qui sont prêtes à donner leur 110 %. Elles sont là pour servir la nouvelle clientèle. Les membres de mon équipe sont bien différents. C’est ce qui fait la force du commerce de la rue Principale à Richmond. Nous acceptons toutes les sortes de coiffures possibles, chez les hommes, chez les femmes et chez les enfants », affirme Mme Garrett.
La femme d’affaires est âgée de 27 ans. Elle est mère d’une petite fille de cinq ans. « Ce n’est pas facile, mais c’est le fait d’avoir eu ma fille aussi jeune si j’ai pu me lancer dans un projet d’une telle envergure. Il faut dire que j’ai aussi un bon conjoint qui m’aide à gérer l’école de ma fille », insiste Mme Garrett.
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