« Finissage » de l’artiste Sandra Picken Roberts au Musée de l’ardoise
Par Ghislain Allard
Journaliste
Richmond (GA) —Le Musée de l’ardoise a mis fin de façon festive la semaine dernière à l’exposition de l’artiste Sandra Picken Roberts en organisant un « finissage », en référence à un vernissage qui marque lui le début d’une exposition.
Ainsi, mercredi dernier, tout en respectant les mesures sanitaires, le directeur du Musée, Pierre Bail, a accueilli quelques dizaines de personnes pour souligner l’occasion.
« Ces œuvres représentent mon amour pour les liens historiques de la région estrienne et, tout particulièrement, la région qu’on appelle le Pays de l’ardoise », souligne Sandra Picken Roberts.
Nature
D’ailleurs, l’artiste vit à Richmond. Elle peint depuis plus de 20 ans. Elle utilise l’ardoise comme support. « Chaque œuvre, peinte à la main, montre des scènes de nature des Cantons-de-l’Est. Elle est aussi absorbée par des œuvres historiques reflétant l’honneur de l’armée canadienne », mentionne-t-on dans ses notes biographiques.
« Et comment mieux représenter cette histoire que sur l’ardoise ? Ce matériau noble, qu’on retrouve à travers l’Amérique du Nord et en Europe, a forgé une grande partie de la renommée et de l’économie de la région à ces tout débuts de la colonisation », insiste Sandra Picken Roberts.
Artiste très prisée
Des entreprises et des gouvernements ont déjà commandé plusieurs œuvres de l’artiste. Une centaine de ses créations ont été offertes par le gouverneur général aux invités diplomatique lors de leur passage au Canada.
D’autres sont présentées comme prix, comme trophées ou comme cadeaux corporatifs.
Ses peintures sont accompagnées par des supports en fer forgé, sur des bases de granite ; elles peuvent aussi être encadrées avec des objets historiques ou dans des boites-cadeaux.
L’artiste entretient actuellement de nombreux projets, dont la réalisation d’un livre.
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