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12 février 2021 - 04:00

Un premier roman d’autofiction pour une résidente de Val-des-Sources

Par Richard Lefebvre, Journaliste

Val-des-Sources(RL) — Le mercredi 17 février prochain à 19 h marquera certes un moment des plus importants pour la valsourcienne Valérie Breault, alors que se tiendra en direct sur sa page Facebook professionnelle, le lancement de son tout premier roman intitulé : « Exister : Quand il ne reste que l’espoir ». Basée sur un récit d’autofiction, l’autrice y raconte l’histoire de Rose, une jeune mère prise au cœur d’une relation abusive. Les lecteurs seront donc des témoins privilégiés des aléas de la vie de l’héroïne et pourront donc l’accompagner à travers les différentes étapes qui mèneront à sa quête de guérison et de liberté. 

« Depuis l’enfance, Rose porte en elle une soif d’amour inépuisable. Jeune adulte, ce besoin la pousse dans les bras d’hommes abusifs qui la maltraitent. Elle est cultivée, brillante, humaine, généreuse, douce et vouée à une carrière prometteuse. Pourquoi n’est-elle pas aimée avec respect et bienveillance ? Au terme d’une ultime descente aux enfers, Rose et ses enfants se retrouvent dans un centre d’hébergement en violence conjugale. Afin d’assurer sa sécurité et celle de ses enfants, la jeune femme doit puiser à travers ses ressources intérieures pour comprendre et panser les blessures psychologiques qui la rendent si vulnérable. »

Ayant toujours eu un intérêt marqué pour les mots et étant désireuse de transformer en une manière positive les douloureuses expériences de vie auxquelles elle a dû faire face, Valérie Breault s’est mise à l’écriture de son roman au cours de l’automne 2018. Cette dernière aura consacré plus d’une année entière à la réalisation de son bouquin, lequel se retrouve à présent publié aux éditions de l’Apothéose. 

« Comme il s’agit d’une autofiction, c’est-à-dire que l’histoire s’inspire à la fois de faits réels et fictifs, j’ai voulu que les gens puissent retrouver dans l’histoire de Rose la triste et dure réalité que représente la violence conjugale au sein d’une famille, tout en insistant sur le fait qu’il y a des ressources et de l’espoir. Je pense qu’il est important de démystifier les préjugés envers les victimes et tenter de comprendre également ce qui peut mener quelqu’un à devenir un agresseur. Ayant eu la chance de recevoir l’aide et le support nécessaires pour m’en sortir, je sens maintenant le besoin de redonner au suivant. », confia la jeune romancière de 34 ans, qui n’exclut pas la production d’une éventuelle suite à l’histoire. Par ailleurs, il est à noter qu’il est d’ores et déjà possible de se procurer une copie du livre Exister : Quand il ne reste que l’espoir en visitant les sites internet de l’autrice et de sa maison d’édition. Prendre note également que pour tout achat effectué sur le site web (www.valeriebreault.com), la somme de 1 $ sera remise au Centre d’hébergement de la Volte-face de Victoriaville, elle qui vient en aide aux femmes et enfants victimes de violences conjugales.

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