Projection gratuite de Bon cop, Bad cop 2 à Danville
Danville (SM) - En juin 2016, l’équipe du film québécois «Bon Cop, Bad Cop 2» tournait plusieurs scènes à Danville et au centre-ville de Richmond. Et un étudiant en communication et cinéma originaire de Danville offre une projection gratuite de ce film le 8 septembre prochain.
Suite du premier «Bon Cop, Bad Cop», porté à l’écran en 2006 qui est devenu un des films les plus lucratifs de l’histoire du cinéma canadien, «Bon Cop, Bad Cop 2» est à l’affiche depuis le 12 mai et a déjà récolté 3 M$ au box-office canadien, dont 2,5 M$ au Québec.
«C’est en visionnant le film en famille cet été et en me rappelant la curiosité qu’a suscité l’événement l’an dernier que j’ai eu l’idée d’organiser cette projection pour les gens de la région qui n’ont pas eu l’opportunité de visionner le film encore», explique Ben Schmalenberg.
Ce jeune diplômé du Cégep Champlain a reçu les honneurs lors d’un récent conseil municipal à Danville pour l’excellence de ses résultats scolaires et son implication. Il en a profité pour lancer l’idée et le conseil a accepté de participer au projet.
«Ce sont eux qui s’occupent de l’autorisation des droits de diffusion et ils prennent en charge la location du matériel de projection de même que le coût de location des lieux», ajoute M. Schmalenberg.
Le jeune homme a grandi à Danville et a fréquenté ADS et Richmond Regional High School. C’est à la suite de ce tournage qu’il a décidé de s’inscrire en communications et cinéma à Montréal.
Ainsi, le vendredi 8 septembre prochain, il y aura une représentation du film dès 20 h sur le terrain de soccer du Centre communautaire Mgr Thibault. En cas de mauvais temps, la projection aura lieu dans le gymnase du Centre Mgr Thibault. L’entrée est gratuite. Il est toutefois à noter que le film est classé 13 ans et plus, de type policier/action et dure 2 heures.
«Le but de cette projection est de créer un évènement pour notre village et de donner la chance aux citoyens de la municipalité de visionner un film tourné en partie chez nous», conclut Benjamin.
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