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14 novembre 2010 - 08:27

Démolition d’un immeuble sur la rue Saint-Georges à Windsor

Windsor (RC) – Le bâtiment situé au 21, rue Saint-Georges, face à l'Hôtel de Ville de Windsor, a été démoli cette semaine. Suite à l’adoption du permis nécessaire lors de la dernière séance régulière des élus municipaux, le propriétaire du bâtiment et du terrain n’a pas tardé à amorcer les travaux de démolition, profitant ainsi de la belle température.

Avec le nivellement du terrain, 27 places de stationnement seront disponibles pour la clientèle des commerces et établissements du secteur. L’entente reliée par un bail entre la Ville et le propriétaire de l’ancien immeuble permet ainsi de pallier à l’interdiction de stationner en bordure de la rue Saint-Georges qui, à moins d’avis contraire, sera en vigueur à compter du 1er janvier 2011.

Avec les aménagements réalisés au cours des dernières semaines, la Ville et le comité temporaire regroupant des marchands et des élus ont ciblé les espaces de stationnement à définir pour la clientèle, les employés et le covoiturage à partir de zones réservées et du temps d’occupation.

Malgré les efforts réalisés, les places déjà existantes dans les stationnement municipaux et les rues adjacentes de même que les nouveaux espaces créés, dont ceux résultant de la récente démolition ou du covoiturage dans le secteur Greenlay, ne peuvent égaler la soixantaine d’espaces de stationnement sur la rue Saint-Georges qui seront enlevés, entre la 5e avenue et la rue Principale Nord.

Mentionnons que dans un l’article de La Tribune signé par la journaliste Caroline Bouchard en date du 10 n ovembre au sujet du stationnement à Windsor, il est indiqué qu’environ 8000 véhicules roulent sur la rue Saint-Georges (route 249) quotidiennement. De ce nombre, 5 % du trafic est composé de véhicules lourds.

En ce qui a trait au bâtiment démoli, le premier étage a abrité divers commerces. Durant les années 60 et 70, Roger De Bellefeuille tenait un dépanneur avec son épouse et, durant quelques années une mercerie. L’endroit a ensuite été converti pour la restauration au cours des deux décennies suivantes avec successivement un concept de brasserie et une pizzéria tenue par le restaurateur d’origine grec Georges Fritakis. Durant les années 2000, une compagnie d’assurance occupait l’endroit avant que la vacance du premier plancher laisse place à quelques locations en périodes électorales. Les autres étages abritaient des logements.

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