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Il semble y avoir beaucoup de confusion sur les origines généalogiques des familles Despots ou Dépôt (De Pau) et Depelteau (De Pelletot). Les uns et les autres se donnent parfois comme ancêtre commun Louis Delepeau marié à Sorel le 22 novembre 1751 à Josèphe Leroux. Pau est une commune du Sud-Ouest de la France dans la région Aquitaine, département Pyrénées-Atlantiques. Pelletot est une commune du département de Seine-Inférieure dans le canton de Longueville, arrondissement de Dieppe également en France.
L’origine des deux patronymes Despots (ou Dépôt) et Depelteau est complètement différente et logiquement, les porteurs de ces deux patronymes ne peuvent pas avoir un même ancêtre commun au Québec qui serait Louis Delepeau. Cet ancêtre québécois est effectivement l’ancêtre des familles Despots (ou Dépôt). Il est originaire de la paroisse de Champeau dans le diocèse d’Avranches en Basse-Normandie; probablement le lieu d’où il est parti pour se rendre en Nouvelle-France.
Le premier Depelteau connu fut Pierre Sarrazin dit Dépeltaux, marié à Montréal le 15 novembre 1717. Les Depelteau sont fort probablement les descendants de ce Pierre Sarrazin et n’auraient certainement pas le même ancêtre québécois que les familles Despots. On donne aussi comme origine l’Angleterre pour les familles Philpot (prononcer filpotte). Il ne faut pas se leurrer. La Gaule et par la suite le royaume de France furent les plus grands colonisateurs de l’Angleterre.
Philpot est une mutation du nom français Phillipeau, un diminutif de Philippe, comme Pierrot qui est un diminutif de Pierre. Alors, si les Philpot veulent bien reculer un peu plus loin dans leur passé ancestral, ils découvriront certainement leurs racines françaises sinon gauloises, comme les Blaquière.
Activités des Beaux Dimanches
Il est à noter pour la période estivale que les activités des Beaux dimanches en famille se tiendront à l’hôtel de ville de Richmond les mercredis soirs à compter de 19 heures, du 17 juin au 2 septembre inclusivement, et reprendront pour la saison régulière le dimanche 6 septembre à compter de 13 heures.
Il y aura relâche deux mercredis de suite, les 24 juin et 1er juillet. Il n’y aura pas de formation technique logicielle durant l’été et les généalogistes seront occupés à terminer leur roue de paon, 1054 ancêtres sur dix générations, en vue de l’exposition du mois de novembre. L’espace disponible pour l’activité est limité, donc le nombre de participants est aussi limité. Présentez-vous le plus tôt possible aux ateliers si vous souhaitez avoir votre place.
Pour des suggestions ou pour s’inscrire aux Beaux dimanches en famille : Société généalogique de Richmond ([email protected]).