Windsor – Le député de Johnson, Etienne-Alexis Boucher, finance la plantation de 400 arbres afin de compenser les émissions de GES reliées aux activités de son bureau. La plantation de ces arbres permettra de capter 80 tonnes de CO2, soit l’équivalent de 20 voitures parcourant chacune 20 000 km.
Le bureau de M. Boucher s’est associé à l’entreprise « Planter de l’air pur », mise sur pied par des élèves de l’école secondaire Le Triolet. « Le projet de ces jeunes de planter un total de 10 000 arbres pour capter 2000 tonnes de CO2 est remarquable. En s’associant à eux, nous faisons d’une pierre deux coups : nous encourageons des jeunes de la région, dont plusieurs demeurent dans la circonscription, et nous compensons les GES produits par les activités du bureau », a déclaré M. Boucher.
Les déplacements liés au fonctionnement du bureau du député de Johnson ont généré, depuis l’élection de décembre 2008, 16 tonnes de CO2. À cela, il faut ajouter la consommation d’électricité, la papeterie et l’impact de la production des appareils comme les ordinateurs « Bien que l’entreprise « Planter de l’air pur » ne propose pas un programme de certification vérifié, nous pouvons affirmer que la plantation d’aujourd’hui permet de dire que 100% des émissions de GES générées par mon bureau entre décembre 2008 et décembre 2010 sont compensés », a précisé le député de Johnson. « J’en profite pour lancer le défi à mes collègues députés de la région : la compensation de carbone sera la norme d’ici quelques années si on veut freiner les changements climatiques. J’espère que tous les bureaux de députés donneront l’exemple », a-t-il ajouté
Les 400 arbres ont été plantés sur la ferme Izalco, à Saint-François-Xavier-de-Brompton. Les arbres serviront à créer une bande riveraine le long d’un ruisseau se déversant dans la rivière Saint-François et à ériger une haie brise-odeur.
Enfin, notons que cette activité se déroule aussi dans le cadre du mois de l’arbre. « En cette fin du mois de l’arbre, j’encourage les gens à planter des arbres et à prendre conscience de l’impact de leurs activités sur l’environnement », a conclu Etienne-Alexis Boucher.