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2 mai 2010 - 07:58

Des pompiers de Saint-François et Windsor-Val-Joli étaient prêts à s’impliquer bénévolement

Windsor (RC) – Il s’en est fallu de peu pour que des pompiers bénévoles de Windsor-Val-Joli et Saint-François-Xavier-de-Brompton se rendent à Sainte-Clotilde-de-Horton, le dimanche 25 avril, afin de tenter avec d’autres bénévoles de retracer le corps du jeune Nicolas Pineault sur la rivière Nicolet et ses berges. C’est toutefois une résidante demeurant à quatre kilomètres de la maison de la famille Pineault qui a fait la triste découverte du corps durant l’après-midi du 24 avril.

Une semaine auparavant, des pompiers de Windsor-Val-Joli et d’autres provenant des brigades avoisinantes recherchaient sur la rivière Saint-François le corps d’une sexagénaire de Victoriaville. C’est finalement un pompier de Saint-François et l’ancien garde-chasse Michel Morin qui ont retrouvé le corps de la femme.

Cette première implication résultait d’un appel des proches de la victime à l’adresse du directeur Michael Beattie. Celui-ci accepta de réunir des bénévoles avec le soutien de ses homologues provenant des brigades de Richmond, Saint-Claude et Saint-François. Au courant de la découverte du 18 avril, c’est cette fois le père du jeune Nicolas Pineault qui communiqua avec M. Beattie.

« J’ai accepté car ce sont des moments terriblement dures pour la famille et les proches. Cependant, les recherches ne se déroulent pas sur le territoire de la Régie, ce qui veut dire que nous devons agir sur une base bénévole. Au même moment se tenait l’assemblée régionale des pompiers à Danville. J’en ai profité pour inviter les membres des autres brigades », précise Michael Beattie.

Au terme de cette rencontre, le directeur Pierre Milhomme a pu réunir quelques bénévoles du côté de Saint-François-Xavier-de-Brompton tandis que d’autres bénévoles provenant de d’Asbestos, Danville, Compton et Waterville s’ajoutaient à la liste. Dans le cas de Windsor, quatre bénévoles et deux embarcations étaient prêts à se rendre à Sainte-Clotilde-de-Horton. M. Beattie et ses collègues préfèrent cependant que le cauchemar de la famille du jeune Nicolas ait pu enfin se terminer.

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