Sherbrooke - Signe du vieillissement de la population, les troubles cognitifs sont de plus en plus répandus : les experts dénombrent 747 000 cas au Canada (dont 140 000 au Québec) et s’attendent à 25 000 nouveaux cas par an. Bien que les recherches se poursuivent afin de développer des médicaments pouvant ralentir ou même arrêter l’Alzheimer, il n’existe aucune thérapie capable d’en renverser le cours. La prévention demeure le meilleur allié de la mémoire : être actif tant physiquement qu’intellectuellement et socialement, tout en ayant un régime équilibré pour éviter les facteurs de risque qui prédisposent à la maladie.
Les pertes de mémoire ne relèvent toutefois pas nécessairement du trouble cognitif ; c’est au dépistage que l’on départage la maladie des conséquences attendues du vieillissement. Les troubles cognitifs sont insidieux et peuvent être présents dans le cerveau 25 ans avant l’apparition des symptômes. L’Alzheimer se manifeste d’abord par une perte d’aisance dans les tâches complexes telles que la gestion financière, l’utilisation d’un ordinateur ou la conduite automobile. Le déclin cognitif se généralise ensuite sur une période de huit à dix ans ; il se traduit par des changements au niveau des intérêts et du raisonnement, avec des comportements difficiles à gérer tant pour la personne atteinte que pour son entourage.
Malgré l’urgence de découvrir un traitement efficace, moins de 5 % du budget des instituts de recherche en santé du Canada est consacré aux programmes sur les maladies cognitives. Q & T Recherche participe à des essais cliniques de nouveaux composés destinés à traiter la maladie d’Alzheimer. La Dre Paule Royer, spécialiste des troubles cognitifs, est la principale investigatrice pour ces projets. Elle est entourée d’une équipe d’infirmières chevronnées : leur approche axée sur le patient a valu à l’entreprise plusieurs prix.
Pour plus d’information sur les essais cliniques appeler Q & T Recherche au 819 562 0777 ou visitez qtrecherche.com.