Stoke — À Stoke, quatre candidats se font la lutte pour devenir maire le 2 novembre prochain. Dans ce sens, Réjean Cazes a posé sa candidature.
En 2008 et 2012, M. Cazes s’était présenté à la mairie de Stoke, mais sans succès.
Depuis le début des années 1980, Réjean Cazes évolue dans le monde des affaires. Il possède une expertise dans l’entrepreneuriat et dans le secteur du service-conseil dans les entreprises.
« J’ai passé ma vie à trouver des solutions pour des entreprises. J’ai servi des dg dans des villes; j’ai servi des directeurs d’usine et des bureaux d’avocats. J’ai passé 25 ans dans le secteur des machines de bureau, comme les photocopieurs. J’ai donc visité plusieurs sortes d’entreprises. Je suis une personne qui s’intéresse aux gens. J’ai passé ma vie à répondre à des besoins. Le lien avec la politique municipale est donc facile à faire », soutient le candidat à la miarie de Stoke.
Depuis 2012, il a œuvré comme marguillier à la paroisse du Bon Pasteur qui a annexé Saint-Philémon-de-Stoke. « Il y a des gens qui ont payé durant 150 ans pour entretenir l’église à Stoke. Je ne veux pas qu’on vende l’église sans que la population puisse en profiter. La population de Stoke, je l’ai vraiment à cœur », de dire M. Cazes.
Avec la préretraite qui a sonné et le départ de Luc Cayer, il se dit prêt à relever ce nouveau défi à la mairie de Stoke. « Je connais bien des gens à Stoke. Ça ne donne rien de pleurer lorsqu’on a des problèmes. Il faut trouver des solutions. Je suis branché sur le présent. Il y a des travaux d’égouts et d’aqueduc à réaliser à Stoke. Il faut le faire là ! Il faut être proactif dans la vie. Dans certains projets, la municipalité doit aller chercher de l’aide des autres gouvernements », soutient le candidat à la mairie, qui possède 42 acres de terrain à Stoke.
Selon lui, une municipalité doit agir rapidement pour éviter de se retrouver dans une situation d’urgence qui coûtera beaucoup plus cher pour régler le même problème.
« Ce sont aux gens de Stoke à prendre la décision pour se trouver un nouveau maire. C’est à eux de voir qui a travaillé pour eux dans le passé. Les gens d’ici sont au courant que je m’implique toujours à 100 %, quand ce n’est pas à 150 %. Quand je m’engage dans un dossier, c’est pour que ça marche », termine M. Cazes, qui est opposé à Alain Bergeron, à Étienne-Alexis Boucher et à Daniel Dodier.