Richmond – Trois spectacles sont à l’affiche au Centre d’art de Richmond durant les deux prochains week-ends, dont celui de Joëlle Saint-Pierre qui se tiendra le 4 décembre au Bar Le Réfectoire à partir de 20 h. Billet : 12,50 $. Le samedi suivant, 5 décembre à 20, Jean-François Léger présentera sur la scène du Centre d’art « 50 ans de Bossa Nova » accompagné de Michel Dupire et François Marion. Billet : 27,50 $. La fin de semaine suivante, 12 décembre, ce sera au tour du groupe Heymoonshaker d’être sur les planches à 20 h. Billet : 27,50 $.     

Joëlle Saint-Pierre

Joëlle Saint-Pierre s’est démarquée lors des dernières Francouvertes, mais on la connaissait déjà bien avant. Elle présente ses compositions depuis plusieurs années, accompagnée de son vibraphone et son piano. Elle mitonne actuellement un nouveau petit bijou, plein de perles et de couleurs, un univers enchanteur et candide.

50 ans de Bossa Nova

Amoureux des rythmes du Brésil, Jean-François Léger interprète les grandes chansons qui ont fait de la Bossa Nova une véritable révolution culturelle.

De Antonio Carlos Jobim, João Gilberto, Vinicius de Moraes à nos jours, Léger brosse un panorama de ce que fut la formidable histoire de ce courant musical marquant. Le chanteur interprète plusieurs classiques en portugais et pige aussi dans le répertoire français de Pierre Barouh (Samba Saravah) et de Michel Legrand (Les Parapluies de Cherbourg), italien de Bruno Martino (Estate) et anglais avec sa surprenante relecture du succès des Jackson Five, Never can say goodbye. Il est accompagné de Francois Marion (La Bottine Souriante) à la contrebasse et par une des références au Québec de la musique brésilienne ainsi que de Michel Dupire aux percussions.

Heymoonshaker

Mené par le chanteur-guitariste Andrew Bacon et le « human beatbox » Dave Crowe, Heymoonshaker s’impose comme un mélange éclectique et viscéral de blues et de rythmes binaires. L’aventure du groupe débute en Nouvelle-Zélande en 2009 lorsque les artistes de rue Bacon et Crowe fusionnent leurs passions pour le blues et les musiques électroniques. De la rue aux bars, le duo anglais enchaîne les prestations. S’inspirant profondément de Led Zeppelin et de Muddy Waters, Heymoonshaker impressionne le public avec ses gros riffs, ses rythmes lourds, couplés à une voix criant ses racines blues. Site web : fr.ca.facebook.com/heymoonshaker.